Merci à Marie Paturel d’avoir voulu recueillir et publier le résultat final.
Rien n’aurait du être publié à ce sujet, puisque l’affaire n’était pas traitée et donc pas conclue par la FFA, ce qui ne faisait aucun doute sur l’issue, qui plus est.
Le média SPE 15 a sorti le nom du coureur et l’a salit dès lors. On ne peut que s’interroger sur le but mercantile du buzz recherché (média dont le gérant est aussi l’organisateur des Templiers), sur la méthode de procuration auprès des instances et sur la parole de ce média qui avait contacté et s’était entendu auprès du coureur pour ne rien publier, chose qu’il a tout de même fait dès le lendemain.
Les personnes et coureurs qui se sont occupés de relayer une info dont ils ne tenaient aucun aboutissants et qui ont insultés l’homme sans le connaître, vont sûrement à l’inverse faire silence radio désormais.La morale de cette histoire, c’est que les réseaux sociaux et internet précipitent les infos et les émotions de façon incontrôlée. Il faut savoir rester maître de sa parole (surtout derrière un écran) et bien penser et peser les choses. Ce qui est sûr, c’est que certaines formes d’utilisation de l’information de certains médias est à déplorer. Réfléchissons bien ! Courir est un excellent remède.
Retrouvez l’interview de Nicolas Bouvier-Gaz, accordée en début d’année
Début février, Spe15 lançait un pavé dans la mare en révélant un contrôle positif aux corticoïdes réalisé sur le Festival des Templiers 2016. L’information dévoilait l’identité de l’athlète concerné : Nicolas Bouvier-Gaz. Hier, l’athlète du team New Balance ouvrait un courrier libérateur : la FFA lui annonçait qu’il était relaxé. Interview du Pyrénéen.
Le team New Balance lors de son rassemblement mi-février. Une équipe soudée qui n’a jamais douté de l’intégrité de Nicolas Bouvier-Gaz.
Suite à la publication de ce test positif, toutes sortes d’informations ont circulé sur internet, notamment sur les réseaux sociaux. La mention d’un échantillon B a même été évoquée. Qu’en est-il exactement ?
Il n’était pas nécessaire que je demande l’analyse d’un échantillon B car je n’avais aucun doute sur le premier échantillon. Je savais où j’en étais. Je me suis donc contenté de renvoyer tous les justificatifs à la FFA.
Comment as-tu vécu cette période ? Les propos…
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.. Tant de bruit pour accoucher d’une souris…
Regrettable que Nicolas n’ai eu l’esprit pratique, son toubib aussi en l’informant, de présenter les documents médicaux justifiant de cette utilisation le jour même du contrôle, cela aurait évité bien des palabres (dont un voyage à Paris) et surtout de jeter le doute et l’opprobre sur l’athlète, la discipline et encore le sport qui n’ont besoin de cette publicité là…
Doute, qui malgré la relaxe, subsistera malheureusement…
Je peux en témoigner, car même si je n’ai jamais eu à monter à la capitale pour me défendre, bien qu’ayant été contrôlé nombre de fois lors de mon parcours cycliste ou de runners, il est dans de la nature humaine de certains sportifs et pas que, de justifier le travail, le talent, le don des autres concurrents et aussi d’excuser sa propre faiblesse, en jetant le discrédit et en colportant rumeurs et mensonges…
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